Algérie en brèves

Redaction

Présidentielles
Belkhadem veut convaincre Djaballah à se présenter

A quelques semaines du rendez-vous électoral pour les présidentielles, en avril 2009, les tractations souterraines s’intensifient au sein des différents clans politiques.

Ainsi, en attendant l’annonce officielle de la candidature de Boueflika à sa propre succession à la tête de l’Etat, Belkhadem, son ex-premier ministre et actuel secrétaire général du FLN, exhorte Abdallah Djaballah, l’ancien patron du parti El Islah, a se présenter à son tour aux élections, apprend-on.

Pour l’en convaincre Belkhadem lui garantirait le soutien du FLN.

Par ailleurs, plusieurs autres noms de candidats potentiels circulent depuis quelques temps. Il s’agit notamment de Mouloud Hamrouche et d’Ahmed Benbitour. A ceux là il faudra rajouter la candidature de Zeroaul et éventuelle aussi celle de Saïd Saadi, qui exige la présence d’observateurs internationaux à ces élections.

Nomination

Mohamed Réda Hemch, conseiller spécial de Chakib Khelil , est nommé président du conseil d’administration des infrastructures sportives de Sontarch.

Business

Smart Link Communication, la société du général khaled Nezzar, a été présélectionnée par la Caisse national d’épargne et de prévoyance (CNEP), pour fournir du matériel informatique, de visioconférence et de téléphonie. Le contrat s’élève à plus de 64 millions de dinars

Création de fonds souverains algériens
Quoi de neuf ?

Sous injonction de Bouteflika, le premier ministre Ahmed Ouyahia, a finalement répondu par le négatif au projet de la création d’un fonds souverain, introduit par Réda Hamiani, le patron du Forum des chefs d’entrepris. Celui-ci cherchait via ce fonds à dynamiser son organisation patronale, et réagir par la même occasion à la création, par son beau frère, Abdelwahab Rahim, d’un organisme concurrent.

D’autant, que le ministre de l’énergie Chakib Khalil, c’était montré favorable à l’idée de créer un fonds à même de permettre le placement des réserves de change algériennes dans des sociétés es étrangères. Entreprise risque de nos jours, vue le tohu-bohu qui caractère le milieu finance mondial, plongé dans une crise existentielle.

Cela dit, la décision de transformer la Banque algérienne de développement en société de gestion d’un fonds pour financer les grands projets public, reste à l’ordre du jour.

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