
« Nous sommes arrivés à un accord sur un taux d’intégration nationale de 50% », a déclaré le ministre lors d’une conférence à l’Assemblée populaire nationale, consacrée à la coopération algéro-française. Les accessoires constituant l’habitacle du véhicule (carrosserie, châssis) notamment seront fabriqués par des entreprises sous-traitantes locales.
Le ministre algérien confirme ainsi ce que nous rapportions sur le taux d’intégration convenu et l’obligation d’associer le tissu de sous-traitance local. Nos sources indiquent qu’une annonce imminente devra être faite dans les jours qui suivent sur la concrétisation du projet Renault en Algérie.
RAF




