
Cette dernière estime à environ 300 le nombre de délinquants multirécidivistes concernés dont la plupart est de nationalité algérienne. Le projet consiste concrètement au financement d’une formation en Algérie à ceux qui «rentreraient volontairement au pays». «Le projet de retour volontaire s’inscrit également dans le cadre de la prévention de la migration irrégulière», explique le porte-parole d’Isabel Rochat.
Khalil Mehdi




